Avec une tendance générale stable par rapport à 2018, le rapport ne crée pas de grande surprise.
Il vient cependant nous remettre, acteurs du sport, face à nos responsabilités pour enrayer les disparités de pratique dans la population.
Pour résumer : les femmes pratiquent moins que les hommes, les personnes ayant un diplôme inférieur ou égal au baccalauréat pratiquent moins que celles ayant fait des études supérieures, les classes moyennes et pauvres pratiquent moins que les classes moyennes supérieures et aisées, les personnes âgées pratiquent moins que les plus jeunes, les demandeurs d’emploi pratiquent moins que les actifs occupés.
On note aussi que seuls 20% des pratiquants le font en club (ou association sportive), une part relativement faible des 65% d’interrogés qui déclarent avoir pratiqué une activité sportive dans l’année qui précédait leur réponse.